lundi 21 avril 2014

Il y a du changement dans l'air ...

Je change, j'innove, j'évolue, je vis me semble t-il ... J'ai le plaisir de vous annoncer que j'ai en parti finalisé mon site internet accessible à l'adresse suivante : 


Encore quelques réglages et il sera désormais opérationnel. Je vais continuer à utiliser en doublon, blog et site internet puis petit à petit, le site remplacera le blog.
Pourquoi ? Mon nouveau site développé sous Wordpress offre un spectre plus large que mon simple blog qui a bien rempli son office depuis lancement. La possibilité de s’abonner, de laisser des messages et d'être plus interactif m'ont semblé plus intéressant. Il me permet également de rajouter différentes rubriques plus en phase avec ce que je souhaite montrer de mon travail. Le ton restera le même, empreint de simplicité, de poésie, d'humour ou de coups de gueule. Vous y trouverez d'ailleurs une série sur le Golden Gate Bridge, dans la brume évidemment (dans la partie galerie).

À ce propos, vous avez peut-être constaté mon récent énervement sur la violation du droit d'auteur dont j'ai fait l'objet, le vol d'une de mes photos pour un site de campagne électorale. Ce post a déclenché pas mal de messages et de réactions curieusement pas directement depuis mon blog (j'espère bien que mon nouveau site, de ce point de vue, permettra à chacun d'interagir directement et simplement) Personne n'est dupe et bien évidemment, je n'ai aucun statut de star de la photo. Mais je le répète, si une photo vous intéresse à titre privé ou professionnel, contactez-moi. C'est simple au final, non ? C'est surtout une question de courtoisie voire de politesse la plus élémentaire.

Pour palier à cet inconvénient et pour accompagner ce nouveau site, j'ai une nouvelle signature que vous avez pu voir sur mon dernier post intitulé d'humeur poétique. C'est le travail d'une jeune graphiste qui mérite que l'on s'attarde sur travail. Voici son site http://nadiabories.blogspot.fr/ que vous trouverez dans la rubrique liens.

Et enfin, merci à Nexxpix, la webagency qui a développé mon site. Ils créent des sites et des blogs, proposent des solutions E-Commerce, des campagnes webmarketing, du référencement, de l'hébergement, des plugins, des addons, des trucs barbares indispensables de nos jours mais si vous n'y comprenez rien, eux savent de quoi ils parlent, ouf, enfin bref, contactez-les ! (http://nexxpix.fr/).

Voilà, c'est à peu près tout. C'est déjà pas mal. Ah oui, je vais finaliser ma série en noir et blanc de San Francisco que vous aurez le plaisir, je l'espère, de découvrir lors du Festival Mur d'Images du 13 au 14 juin prochain (http://festivalmurdimages.fr
). Il y a là aussi des photographes, une graphiste, un restaurateur, un ébéniste, des gens extras passionnés d'images que je vous présenterai lors d'un prochain post. Retenez déjà les dates !
Et puis surtout, c'est l'occasion de montrer votre ville de Brioude à travers vos yeux, votre sensibilité en participant au concours photo. Il est gratuit et ouvert à tous !

Allez, en route pour de nouvelles images...




jeudi 10 avril 2014

D'humeur poétique ...


"Les fleurs du printemps sont les rêves de l'hiver racontés, le matin, à la table des anges" Khalill Gibran


Sans dec, ces anges, ils ne sont pas débordés... 



lundi 7 avril 2014

Douce nuit ...


Pour revivre, il faut une grâce, l'oubli de soi ou une patrie. Certains matins, au détour d'une rue, une délicieuse rosée tombe sur le cœur puis s'évapore. Mais la fraîcheur demeure encore et c'est elle, toujours, que le cœur exige. Il me fallait partir à nouveau.
Retour à Tipassa - Albert Camus

Je vous souhaite une douce nuit et fraîche nuit après cette chaude journée de printemps.



mercredi 2 avril 2014

Ouest américain - Page - Arizona - derniers instants

Quelle meilleure fin qu'un coucher de soleil à Page pour sublimer ces grands espaces qui ne cessent de nous enivrer, comme s'ils nous était impossible d'en détacher nos regards et nos pensées. Sur un promontoire en dehors de Page, c'est une vue à 360° qui s'offre à nous. Personne en vue, juste la beauté de ces paysages.
C'est d'ailleurs la force de cet ouest américain mythique que l'on a pourtant le sentiment de connaître pour l'avoir maintes fois vu au cinéma ou ailleurs. Un sentiment de plénitude balayé par un vent doux, un soleil rasant comme si depuis ce promontoire, un spectacle d'une force inouïe et d'une beauté unique s'offraient à nous dans un patchwork de déclinaisons bleues, rouges, orangées.
Un bel instant.
Direction le Grand Canyon.















 

mardi 1 avril 2014

Mon printemps de Rimbaud

Un poème de Rimbaud que j'aime tout particulièrement, il me parle, il attise mon envie de bouger, de voyager, de me remuer. C'est le printemps qui aiguise nos sens, l'air doux et le soleil chaud complètent ce siège de nos organismes endormis par l'hiver, si douce sensation. Juste pour profiter de ces quelques mots anodins qui, mis bout à bout, forme une drôle de farandole et me touchent.

Sensation

Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :
Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
je laisserai le vent baigner ma tête nue.

Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l'amour infini me montera dans l'âme,
Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
par la Nature, - heureux comme avec une femme.

Arthur Rimbaud - Poésies


Vol de photographies sur internet

Vous l'avez certainement constaté, mes photos sont désormais constellées de copyright, ce qui ne facilite pas leur mise en valeur... C'est l'une des solutions els plus efficaces pour dissuader l'emprunt de photos sans en avertir l'auteur. Il y a bien le filigrane, je vais d'ailleurs y réflechir, les avertissements sur la page d'accueil du site mais rien n'y fait.
En fait, je commence à en avoir assez que l'on se serve en photos sur mon blog comme lorsque l'on fait ses courses dans un supermarché. Sauf qu'avec le supermarché, à la fin, il se fait toujours payer, lui ! Ok, je ne vis pas de mes photos, mais j'y passe beaucoup de temps, j'en ai déjà vendu et je vais continuer à le faire. Certains d'entre vous m'en demandent et c'est avec plaisir que je leur envoie la photo souhaitée en bonne définition, à condition que mon nom soit cité en cas d’utilisation autre que très personnelle. Un petit clin d’œil d'ailleurs à Bouge Brioude qui m'a demandé l'autorisation en son temps d’utiliser l'une de mes photos en profil sur Facebook et qui est toujours fidèle à cette photo de la basilique Saint-Julien à Brioude. Je l'ai fait avec beaucoup de plaisir.
Lorsqu'il s'agit de professionnels, je suis forcément moins conciliant. Et c'est pareil lorsqu'il s'agit de politiques peu scrupuleux (euh, pléonasme, non ?, je vais finir par le croire) pour des élections municipales, je suis plutôt en colère. D'autant plus que la photo a conservé le même nom de fichier et que celle-ci a été coupée pour que mon nom n'apparaisse plus. Quand, en plus, j'ai décidé de ne pas lancer de procédure et que j'attends toujours des excuses, cela en dit long sur les personnes concernées. Rien de juridique, juste du savoir vivre. Passons.
Si cela vous arrive d'ailleurs, n'hésitez pas à vous rendre sur le site de Joëlle Verbruge ( http://blog.droit-et-photographie.com). Il faut respecter certaines procédures bien précises car, en droit français, c'est à vous d'établir la preuve de l'usurpation de droit d'auteur. Sachez également que même si vous n'êtes pas professionnel, il est possible de vendre des photos et d'établir une note de droits d'auteur en respectant certaines conditions. Je suis à votre disposition si vous avez des questions, mais le site de Joëlle Verbruge répondra bien mieux que moi à vos interrogations. Avec Tineye, il est également très simple de retrouver une photo utilisée de façon peu scrupuleuse sur un autre site. Il existe également d'autres possibilités comme avec Google.
Il ne s'agit donc pas d'un narcissisme exacerbé quoique, on pourrait disserter longtemps sur le thème de photographes et narcissisme pour ce que j'en vois au quotidien auprès des sites divers et variés que je visite, je me sens également concerné ;-). Là n'est pas le sujet du jour, j'ai eu quelques remarques à ce sujet et je me devais de donner une explication.
Alors, plutôt que de vous servir, n'hésitez pas à me demander car, en plus, les photos sur mon site sont en basse définition, rien à voir avec ce qu'il est possible de produire en haute déf. Et cela me fera également très plaisir !
À bon entendeur ...

Ouest américain - Antelope Canyon - Page - Arizona



Le moins que l'on puisse dire est qu'Antilope Canyon, pour un passionné de photos comme moi, c'est pas un pèlerinage, n'exagérons rien, mais disons que c'était un moment très attendu. Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre mais j'avais comme tout le monde tapé Antelope Canyon puis image sur Google. Et j'étais resté plutôt abasourdi par la beauté de l'endroit. Un lieu sacré avais-je lu quelque part pour les indiens Navajos.
Il faut savoir que depuis 1997 et un tragique accident qui a coûté la vie à 11 personnes dont 7 français, le lieu est visitable uniquement avec un guide via les agences de Page habilitées et tenues par des Navajos, ou leurs descendants.
" L'Antelope Canyon (le « canyon de l'Antilope » en anglais) (Tsé bighánílíní dóó Hazdistazí en Navajo ce qui signifie "le lieu où l'eau coule à travers les rochers") est l'une des gorges les plus connues et les plus photographiées du sud-ouest des États-Unis. Elle est située dans le nord de l'Arizona, à côté du lac Powell, dans la réserve de la Nation Navajo, et est constituée de deux gorges séparées, la supérieure et l'inférieure. C'est une jeune indienne Navajo, en 1931, partie à la recherche d'un de ses moutons égaré qui trouva cette gorge. L'Antelope Canyon peut seulement être visitée en excursions guidées, en partie parce que des pluies inattendues peuvent rapidement l'inonder. Le guide vous emmène en 4x4 en suivant le lit d'une ancienne rivière jusqu'à l'entrée de la grotte à environ 5 kilomètres de la route 98 qui relie Page (AZ) à Kayenta (AZ). La visite dure environ une heure en suivant la gorge sur un kilomètre.
La partie la plus fréquentée est la gorge supérieure. (Source Wikipédia).

Maintenant, je vous livre le décryptage d'Antilope Canyon. Si ce lieu vous attire, vous pouvez continuer à rêver et ignorer la suite de ce post.
Vous avez donc le choix de visiter soit la partie basse à quelques kilomètres mais plus profonde et moins éclairée et la partie haute, plus sujettes aux photos que l'on voit sur le net. Vous avez également la possibilité d'opter pour la visite photo, plus longue d'une demi heure mais aussi plus onéreuse. 
Nous avons opté pour la visite classique, il faut bien que je cède sur certains points, ce sont les vacances de toute la famille, pas uniquement les miennes !
C'est une visite de groupe, environ 15 personnes et plusieurs groupes font la visite en même temps.... En gros, cela se fait au pas de course : pas moyen de prendre le temps de régler mon reflex, il faut là aussi se plier aux règles de groupe.  Nous avons une chouette guide indienne qui nous montre les endroits où prendre les photos, heureusement, car sinon, on passerait à côté de tout, vraiment tout. Un groupe composé d'un couple Américano/Japonais et leur fils, elle ne cessant de se faire prendre en photo par son mari, des couples de Japonais insupportables, le temps étant limité pour tous, il faut éviter de monopoliser la vue pour permettre à tous d'en profiter. Visiblement, les règles de savoir vivre varient d'un continent à l'autre etc etc... Et évidemment, aux USA, le pourboire n'est pas compris dans la prestation et après avoir fait c..., ennuyé tout le groupe, tout ce petit monde s'est volatilisé une fois revenu à Page... Un peu dépité, j'ai lâché à la guide "you should keep this place only for you, Navajos, as a sacred place it is for you". Celle-ci m'a répondu "I understand what you mean...' sans rien dire de plus. Il n'y avait rien d'autre à dire je pense.
Un lieu sacré avais-je lu... C'est comme la poule et l'oeuf, si le site reste ouvert au seul Navajos, moins de touristes et donc moins d'argent, l'ouvrir aux touristes et voilà ce qu 'il se passe...  Les visites sont désormais encadrées pour des raisons de sécurité mais aussi de dégradations puisque avant, les heureux visiteurs qui pouvaient prendre leur temps, ont par exemple essayé d'immortaliser leur venue en gravant leur nom sur la roche friable, entre autres ...

Bref. En haute saison, je n'ose pas imaginer ce que cela doit être.
Je me souviens d'une réflexion du directeur d'un site internet dédié aux voyages qui se disait que son activité menait des gens vers ce type de découvertes et qu'il contribuait à sa façon à ces débordements. Bon c'est un vaste sujet mais quand on est respectueux et ouvert aux autres, c'est la bonne attitude, non ?

Sinon, quel spectacle... Il faut prendre le tour aux environs de midi car le soleil est à l'aplomb de la gorge et pénètre la gorge. Un truc inimaginable et je n'ose imaginer les frissons qui peuvent vous traverser si vous avez la possibilité de vivre ça, seul dans cette gorge. Ok c'est impossible, alors ne gardons que le meilleur.

D'un point de vue technique, il faut aller super vite, éviter de shooter les touristes quand on le peut, se mettre plutôt en priorité ouverture, j'ai tout fait en manuel mais c'était ultra chaud et ne pas hésiter à monter en Iso (flashes interdits). Enfin, dernier point, j'ai shooté en raw, cela aide en post prod. On passe de l'ombre à la pénombre et à la lumière sans cesse, c'est quasi impossible de tout régler dans le temps imparti. Sinon, on passe son temps la tête dans son reflex sans rien voir au final. J'ai parfois opté pour le mode automatique quand je voyais le peu de temps pour shooter dans certaines situations.

Voici une sélection de mes clichés...

 L'entrée du canyon





 Le tour photo, au mileu des autres groupes. En fait, on leur passe sans cesse devant...



 Le visage de Washington...

 Idem avec un angle plus large


 Un oiseau qui prend son envol...


 Un truc extra, invisible sans la guide Navajo, Monument Valley sous le soleil !








vendredi 28 mars 2014

Ouest américain, Horseshoe Bend, Page - Arizona

Je continue mon petit périple imagé dans l'ouest américain. 

Voici une sélection de photos qui a été difficile à trancher tant les couleurs et les points de vue sont variés.
Le Horseshoe Bend (« la courbe du fer à cheval ») est le nom d'un méandre du fleuve Colorado situé à 6 km au sud de la ville de Page en Arizona et correspondant à un ancien plateau érodé. Le méandre se trouve un peu en aval du barrage de Glen Canyon et du lac Powell. Un point de vue situé sur l'U.S. Route 89 (en) permet d'en avoir une bonne vue d'ensemble.
C'est un endroit génial. Il faut par contre être très prudent car le site ne présente aucune protection et vous vous retrouvez tout de suite au-dessus du vide et quel vide... La roche si particulière du pays Navajo est friable et on peut vite se retrouver dans le rouge sans recours possible si on ne fait pas extrêmement attention. Seul un panneau à l'entrée du site prévient les visiteurs. Sinon, le "fer à cheval" est dans son jus, sans aménagement et ça, c'est vraiment extra.

Je pense que je vais me répéter mais j'envie les photographes qui résident sur place et peuvent approcher ces endroits magnifiques à différentes heures, avec des météos différentes et des ambiances très variées. C'est un terrain de jeu sans pareil pour des photos de paysages.
Bon, je vous laisse découvrir les photos, n'hésitez pas à me faire des retours, je vous remercie d'ailleurs pour tous vos messages très sympas.
 

Passez un excellent week-end !

D'autres photos à venir ce week-end je pense, notamment d'Antelope Canyon.



















lundi 24 mars 2014

Les câbles de San-Francisco

Une petite entorse à ma feuille de route mais j'ai bien cette photo qui caractérise parfaitement San-Francisco au-delà du Golden Gate Bridge et et autres clichés. Les rues sont parsemées de cables dans tous els sens. Les câbles électriques, les câbles du téléphone, les câbles des trans ports en bus, du cable-car également. bref, un fatra indescriptible qui vit parfaitement ensemble , dans un désordre parfaitement organisé.
Je crois que le coût pour enterrer ces réseaux est énorme et a découragé toute velléité. Les risques de earthquake également car le coût de reconstruction des réseaux en sous-sol en cas de séisme, majeur ou pas, seraient eux-aussi, particulièrement dissuasifs.


dimanche 23 mars 2014

Ouest américain, Barrage de Glenn Canyon - Page - Arizona

Le visitor's center se situe au niveau du barrage de Glen Canyon sur le Colorado près de la ville de Page en Arizona. Dans mon post précédent je vous ai parlé de Page. Il est intéressant de s'arrêter le temps de quelques lignes sur le barrage de Glen Canyon tant il est impressionnant et les vues depuis celui-ci particulièrement superbes.
Le barrage a été construit entre 1957 et 1964 et entraîna la formation du Lac Powell en amont. En arrière plan des photos vous apercevez le Lac Powell. Ce site a été choisi car, à cet endroit, le canyon est étroit et la roche stable. A sa crête pour ceux que cela intéresse, le barrage a une longueur de 475 mètres pour une épaisseur de 7,60 mètres.

Du Visitor's Center part un ascenseur permettant de visiter la centrale électrique, quelque 160 mètres plus bas. Il y règne une température constante de 10 degrés. À ce niveau, 30 mètres de béton séparent le visiteur du lac Powelll. Un énorme déversoir, situé sur le côté du barrage, permet de rejeter l'eau directement à la rivière. Le toit de la centrale est recouvert de 8 000 m² de gazon permettant de diminuer la température à l'intérieur du bâtiment des turbines. Une gouttière permet de rejeter à la rivière l'eau qui, le phénomène est normal, suinte du barrage. De même, l'eau qui coule le long des parois du canyon résulte de ce suintement normal à travers la roche environnante, appelée grès de Navajo. Le barrage fut construit entre juin 1960 et septembre 1963 et devint alors le quatrième plus grand barrage des États-Unis. Plus bas,le Colorado traverse Glen Canyon, Marble Canyon, le Grand Canyon avant d'atteindre le barrage Hoover où la même eau est encore utilisée pour produire de l'électricité. À proximité se trouve le pont de Glen Canyon, lequel a été terminé en 1959. Avant la construction de ce barrage, un détour de plus de 320 km était nécessaire pour passer d'un côté à l'autre du canyon. En effet, le réseau routier de la région à l'époque était lacunaire. Pendant un certain temps, les entrepreneurs utilisaient de petits avions pour faire la navette (source Wikipédia).

Ce post est le premier d'une série de plusieurs qui vont me permettre de vous faire partager ces superbes émotions que nous avons ressenties lors de ce périple dans l'ouest américain.

Soyez patient car j'ai de nombreuses photos à traiter et surtout, enjoy !